Le blog de Thier

Deux mots bizarres...

Qui pour le commun des mortels n'ont aucun sens. Mais en fait, ils représentent un environnement d'aérobic, c'est à dire les exercices qui élèvent le rythme cardiaque, renforcant le coeur et brûlant les graisses. Cette optimisation se retrouve dans la course à pied, la marche, la natation, le cyclisme, et cela en salle ou en plein air.

Mais comment en suis-je arrivé là?

Tout simplement après des années d'un travail, certes passionnant, mais stressant... dans l'environnement économie-analyse financière-bourse-trading-gestion de portefeuille ...

ci-dessous, un des mes derniers bureaux

Fin 2001, je dois avouer que j'étais devenu plutôt gros et bien enveloppé, à la suite de nombreuses années d'excès culinaires et liquoreux, et surtout d'années sans aucune pratique sportive, si ce n'est dix descentes à ski, une demi-heure de tennis ou vingt minutes de vélo dans une année entière...

Et ma fille Daphné s'en est inquiétée à ce moment là, a pris rendez-vous chez notre médecin de famille, pour me faire réaliser un check-up complet, m'a fait inscrire dans un grand club de sport parisien, et m'a ensuite dit " maintenant, c'est à toi de faire... "

Alors j'ai commencé à me documenter, à apprendre les techniques et les méthodes, j'ai alors mis en pratique, et résultat, au bout de 18 mois, j'ai  réussi à perdre une trentaine de kilos. Et je me suis trouvé merveilleusement bien, en particulier le fait de retrouver les mensurations de mes 23 ans; Le problème est venu de mon entourage, car tous m'ont trouvé trop maigre voire malade, alors j'ai lâché un peu de lest dans l'effort et le nutritionnel, ce qui m'a fait reprendre quelques kilos.

Mais quelles sont ces techniques et ces méthodes ?

La manière la plus efficace pour brûler des graisses est de faire un exercice physique dans une zone de 65 à 75 % de sa fréquence cardiaque maximale, que ce soit en marche rapide, en course lente, en cyclisme, ou par le biais d'instruments de salle, comme des Rotex, Stepper ou rameur. Il faut environ 20 minutes d'exercices pour que l'organisme entre dans la phase de combustion des graisses, et en brûle d'autant plus que l'exercice sera long.

Pour calculer sa FCM, il existe un méthode mathématique et simpliste: FCM = 220 ( 226 pour les femmes ) -âge. Le seul problème est l'approximation de cette méthode, en ce qui me concerne, à l'époque des mes 46 ans, la FCM aurait été 220 - 46 soit 174, et j'ai pu constater, lors d'un test d'effort, que ma FCM réelle était en fait de 195... Donc 21 points d'erreur! Et pour calculer les zones de travail, il faut prendre la zone 65 à 75 % pour l'objectif Perte de poids, et si les chiffres de zones sont mauvais, alors l'exercice n'a aucune utilité. Car en dessous de ce rythme de travail, l'organisme se nourrit dans les réserves et le sucres, et même chose au dessus de ladite zone de travail cardiaque.

La fréqence cardiaque se contrôle avec un cardio-fréquencemètre ( ceinture thoracique avec une montre au poignée servant de recepteur ), précisons son importance dans tous les sports d'endurance pour surveiller son coeur, et cela quelque soit l'âge de l'individu.

Bien évidemment, il faut allier à la pratique du sport d'endurance une hygiène alimentaire sérieuse, que nous n'aborderons pas dans les détails à présent; Pour donner un aperçu, il s'agit d'éviter au maximum les lipides ( graisses ), de renforcer les protéines et de consommer des glucides ( formes de réserves avant un effort prolongé ). Il faut également supprimer au maximum les apports en alcool, tout en pouvant conserver la consommation de vins rouges bordelais, à doses réduites.

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et voici mon bureau privé, dans les années 2010, ci-dessous ...

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Lors de mes entraînements de cardio-training au club, je pratiquais sur le tapis de course essentiellement de la marche rapide ( autour de 7 km/h ) avec une pente de 3 pour cent, ce qui me permettait d'être dans la phase cardiaque optimale pour la perte de poids. Vers Mai 2003, à plusieurs reprises, j'observais un autre sportif sur un tapis voisin, qui faisait un entraînement bizarre, en alternant course très rapide, et marche; Intrigué par cette technique, je suis allé le questionner, et il m'a alors brièvement expliqué les bienfaits du fractionné dans le domaine de la course à pied. Celui-ci, Pascal, marathonien expérimenté, m'a alors proposé de pratiquer avec lui quelques entraînements, cette fois, en extérieur, pour découvrir la course à pied sous un autre angle. Et ce fut alors un long apprentissage, au bois de Boulogne, sur les bords de Seine, ou encore dans le parc de Saint-Cloud, pour concrétiser avec l'inscription à ma première course, le Paris-versailles le 28 Septembre 2003 en 1h35, puis les 20 Kilomètres de Paris le 19 Octobre de la même année en 1h51. Le virus était alors en train de s'installer, avec l'achat de tenues appropriées et de chaussures running pro.

Les mois d'hiver passèrent avec un entraînement sérieux et régulier, et je me suis préparé au Printemps pour mon premier...marathon, celui du Mont Saint-Michel; Pourquoi celui là ? Etant ayant ancien parachutiste sous la bienveillance de Saint-Michel, je me suis dit qu'il pourrait peut être encore m'aider dans ces circonstances là... Et arriva le grand jour, le 20 Juin 2004, où je m'élançais de Cancale vers le Mont Saint-Michel, toujours en compagnie de mon coach Pascal, pour gagner mon premier galon de marathonien en 4 heures et 11 minutes.

Après une petite période de repos, j'ai repris l'entraînement fin Juillet, afin de me préparer à mon deuxième défi, le marathon du Médoc, le 11 Septembre, en fait le marathon le plus long du monde, avec maints détours pour entrer visiter les chateaux viticoles et déguster de bons vins, dans une ambiance festive de déguisements. Et évidemment, les chronos s'en ressentent...

L'entraînement se poursuivit pendant l'hiver, afin de se préparer aux défis suivants, à nouveau le marathon du Mont Saint-Michel le 19 Juin 2005, mais là, la canicule a alors frappé ( 38 ° à l'ombre ), et ce fut un véritable hécatombe, course neutralisée au 31° kilomètre, et de nombreux blessés sous masque à oxygène et perfusion au bord des routes du parcours. Mais les survivants ont tout de même gagné leurs médailles, elles étaient d'autant plus mérité, même si le kilomètrage requis n'avait pas été effectué ( enfin, c'est mon avis personnel...).

Après une période de repos ( nécessaire après tout marathon, pour éviter de trop solliciter l'organisme ), j'ai repris l'entraînement afin de préparer la course suivante, le marathon du Médoc, le 10 Septembre, pour revivre cette ambiance joyeuse de gais-lurons. Et l'ambiance était toujours là au rendez-vous, avec des participants venant du monde entier.

L'année 2006 se profilait peu après avec trois objectifs nouveaux en terme de marathons, celui des Côtes de Blaye dans le Bordelais le 14 Mai, puis celui du Médoc à nouveau en Septembre, et enfin, le plus beau, le plus connu au monde, celui de New York le 5 Novembre, mais il fera partie d'un autre article un peu plus loin. Malheureusement, à cause d'une blessure au genou, j'ai dû arrêter tout entraînement en Juillet ainsi qu'en Août, et ne fus donc pas prêt pour participer au marathon du Médoc 2006.

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un rêve réalisé, un séjour exceptionnel !

Après avoir fait plusieurs marathons en France, le rêve était de participer au plus mythique des marathons, celui de New York. Et le rêve s'est concrétisé un Dimanche 5 Novemvre 2006.

J'ai, pour cela, dû m'inscrire avec mon ami Pascal, dès le mois d'Août 2005, pour avoir une place.

Nous sommes arrivés à New York quelques jours auparavant, et avons passé notre temps à visiter Manhattan et ses environs, à pied, à une rythme d'une trentaine de kilomètres par jour, ce qui eut pour conséquence de nous agrémenter les plantes de pieds de quelques ampoules...

Mais le 5 de bon matin, nous prenions le car, comme tous les coureurs ( environ 39.600 ), au carrefour de la 5° Avenue et de la 42° Rue, par un froid glacial, avec -1° degré celsius au thermomètre,( nuit de Pleine Lune oblige ), pour être conduit dans un camp militaire au pied du Pont de Verrazano, à Staten Island. Nous avons alors attendu l'heure du départ pendant environ 2 heures.

Puis vint le coup de canon, à 10h15, suivi du passage à basse altitude d'un Hercules de l'armée de l'air, et tous les coureurs se sont élancés vers le Pont de Verrazano, soit  du niveau inférieur, soit au niveau supérieur ( qui permet d'avoir une meilleure vue sur la baie de New York, et sur la pleine mer de l'autre côté).

Tous les groupes se rejoindront au kilomètre 12,870, qui se trouve dans la 4th Avenue et Flatbush Avenue, dans Brooklyn. La course se poursuit à travers Brooklyn, puis Bedford, en traversant le Comté du Queens.

Les coureurs passent ensuite sur le pont de Queensboro pour entrer dans Manhattan, pour se diriger vers le nord par la 1° Avenue jusqu'au pont de Willis Avenue, matérialisant l'entrée dans le Bronx, et font une boucle par la 138° Rue pour revenir vers Manhattan, en passant par le pont de Madison Avenue.

On se dirige ensuite vers le Sud par la mythique 5° Avenue, toute en montée, pour entrer dans Central Park, au niveau de la 90° Avenue, ce parc de 360 hectares constituant le poumon d'oxygène de Manhattan, et on en ressort par la Grand Army Plaza pour longer South Park jusqu'à Colombus CIrcle, et entrer à nouveau dans Central Park pour la dernière ligne droite, bien entendu en montée, le tout sous les acclamations de milliers de spectateurs affrontant aussi le froid dans Central Park.

Et là, on se rend compte que l'aventure est terminée, on reçoit une belle médaille de marathonien, et on apprécie enfin d'avoir fait le clown ainsi dans ces avenues et ces rues glaciales, alors que l'on aurait bien pu rester à siroter un bon whisky devant un feu de cheminée.

retour au chaud à l'hotel

Il faut à présent saluer et féliciter l'organisation de ce marathon, tout à fait dans les normes de ce qui se fait aux USA, avec son lot de volontaires, de policiers et pompiers. Il faut également remercier le peuple américain pour son soutien et ses encouragements tout au long du parcours ( plus de 2 millions de spectateurs dans les rues ,selon la presse locale ), et notamment pour ses acclamations au passage de dossards français.

Cette idée a germé dans ma tête, en tombant sur un petit article de presse vantant les mérites de l'école LRS à Magny-cours.

Le programme était somptueux, avec un cours théorique de pilotage de monoplace, puis une découverte du circuit et de ses particularités, suivi de deux séries de 6 tours au volant d'une Formule 3 Dallara ( 200 cv pour 500 kgs , boite 6 séquentielle ), agrémentées des commentaires et corrections des moniteurs.

La journée fut entrecoupée d'un déjeuner ( bonne table, mais juste arrosée d'eau plate ou gazeuse...), et nous repartions pour une nouvelle formation théorique du pilotage d'une Formule 1 . Là dessus, le grand moment du choix de la monoplace, un peu en fonction de son gabarit, certaines sont si " étroites " qu'il faudrait un "chausse-pied " pour y entrer... Mon choix s'est porté sur la Prost AP04, pilotée par Jean Alesi, notamment, en 2001. Puis vint cet instant magique où l'on appuie sur le bouton du démarreur, guidé en cela par gestes par l'instructeur, et où l'on passe enfin la seconde ( et oui ) pour s'élancer sur la piste ( si on n'a pas calé une fois ou deux dans l'intervalle...).

Commence alors la plus formidable expérience de toute une vie de conducteur automobile, qui se transforme alors en pilote automobile, dans le hurlement du moteur de 700 CV, avec à chaque passage de vitesse un monstrueux " coup de pied au cul ", à ne plus en finir. Cela se traduit par des passages en courbes à des vitesses insensées, mais surtout à se taper un bon 280 / 290 km/h en sixième dans la grande ligne droite, entre le virage d'Estoril et l'épingle d'Adélaïde, que l'on aborde à peine à 50 km/h, après un freinage démoniaque qui donne l'impression que l'on va se manger le volant dans les dents, et cela malgré le harnais 6 points tendu à fond... Et les tours s'enchaînent, mais on en fait en moyenne juste 3 ou 4, accompagnés de ce hurlement de moteur si caractéristique d'une Formule 1 en furie, puis l'on revient au stand, pour couper le moteur devant le box. Vient alors un immense calme, un peu comme si l'on était assis à l'arrière d'un grand voilier au milieu de l'Atlantique, on dégrafe alors le harnais pour essayer de sortir du cockpit ( pas si facile que ça en fait...) et l'on pose les pieds sur le bitume brûlant du pite-lane en ayant la sensation de ne plus être porté par ses jambes.

J'assiste par la suite aux expériences des collègues de stage, ainsi qu'à la prise de vue faite par la chaîne M6, pour présenter une autre voiture extraordinaire, la LRS 3, c'est à dire une Formule 1 Larousse, transformée, pour accueillir deux passagers en arrière du pilote, pratiquement dans les pontons...et qui sert à des baptèmes de piste. De quoi être bien décoiffé malgré le casque intégral...

La journée se termine, après un cocktail au champagne et la remise des diplômes, bien mérités, puis on reprend le chemin du retour, en ayant l'impression de rouler au ralenti à 130 km/h sur l'autoroute.                                        Juin 2006

 .                                                                                                                      

    Après avoir roulé pendant des années, tant en moto ( Yamaha FJ1200 ABS, Honda 1000 CBR, etc), qu'en voiture ( Bmw 525 i, Mercedes ML 320 , Mercedes SLK 320, etc)

à des vitesses déraisonnables sur routes et autouroutes ( du style Paris Gare St-Lazare / Deauville en 1h10 ou bien Paris / La Grande Motte en 5 H 30 et encore Paris / Francfort en 4 h),
l'oeil constamment aux aguets pour entrevoir képis ou radars, j'ai fini par me calmer depuis trois ans, en respectant rigoureusement les limitations de vitesses affichées, mais il manquait quelque chose en fait. Et ce quelque chose, je viens de le découvrir en faisant la formation d'une école de pilotage à Magny-Cours ( voir rubrique ci-dessus ). C'est à dire apprendre les règles de l'art, et venir défier les lois de l'équilibre, sur un ruban de bitume, entre glissières de sécurité et bacs à sable, les oreilles remplies d'un hurlement de moteur...

Ce quelque chose a germé dans ma tête, et je me suis en quête d'acheter une monoplace, pour pouvoir tourner sur un circuit. Mon choix s'est porté sur une Martini MK 63 ( base mécanique Renault R 21, avec 150 CV pour 450 kgs ) qui participait jusqu'à présent au Championnat de la Montagne dans l'Est de la France, avec des résultats tout à fait honorables, puisqu'elle " prenait " des BMW M 3 de 450 CV... De plus, j'ai acquis par la même occasion le camion Mercedes 409 D, qui lui sert de transport-atelier-garage.

J'ai alors choisi comme structure le circuit du Vigeant ( Val de Vienne ), à soixante kilomètres de Poitiers, pour effectuer des essais privés ou participer à des Sessions Open.

Mes premiers essais eurent lieu le Mercredi 11 Octobre, sur une piste presque sèche, après une matinée bien arrosée. J'ai pu prendre en main cette voiture et commencer à en découvrir les secrets. Cela après un double tête-à-queue, et un saut un peu trop prononcé à cheval sur un vibreur ( résultat, fixations du fond plat abîmées à l'avant ).

Par contre, les chronos se sont améliorés, entre le début de la session ( une fois les pneus à température ) et 2minutes 30 pour passer en rythme de croisière constant à 2minutes 14 / 2minutes 15.    

Et en 2013 , voici une nouvelle idée pour voir le bitume défiler d'une façon plus rapide sous les roues d'une moto, mais ce petit jeu ne se fera, bien sûr, que sur un circuit. Alors préparons les couvertures chauffantes pour les pneus ... ( quelques chiffres en passant, 160cv pour 180 kgs et un petit 310 km/h , humm ).

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La première expérience de circuit

Les expériences suivantes, souvent sous la pluie ...

avec sa nouvelle déco

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Un beau jour de mars, la Wildstar est partie, mais c'est bien le propre d'une Etoile Sauvage de s'en aller,non ...?

Et ce jour là est arrivée à tire- d'aile une Goldwing .... Elle est même venue se poser un instant sur l'aire de départ de l'Etoile Sauvage.

Selon certains journalistes-essayeurs de la presse Moto, la Goldwing est tellement agréable pour se déplacer que l'on a souvent envie de mettre le Cruise Control et de s'assoir dans le fauteuil arrière...

Pour confirmer ses dires, un autre journaliste, à l'occasion de la présentation du modèle 2007, a aussi eu la même envie de s'assoir à l'arrière, une fois le Cruise Control enclenché... Peut-être attendait-il qu'une nymphe tombe du ciel pour prendre le guidon ...?

Pour l'instant, on va se contenter de la prendre en main de façon classique et l'emmener faire une balade au Haras de Jardy.

Et comme le propre d'un Haras est de faire réaliser des accouplements, cela nous donnerait peut-être quelque chose comme ça...

ou bien comme cela...

A titre de comparaison, voici un retour en arrière de 32 ans ( pour préciser, Août 1975 ...) , avec ma première moto, une Honda 125 S, surnommé à l'époque Gromono, avec de mémoire, une puissance réelle de 13 Cv, et une vitesse maxi autour de 120 km/h...

Voici une rencontre avec un autre dévoreur de kilomètres ...

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Quelques recettes perso...

Préparation de truffes au Nouvel-An

Précisons tout d'abord qu'elles vont dans un sens gastronomique ( les recettes, et non pas les truffes comme on pourrait le croire..., et quoique ...), et non pas vraiment diététique.

ENTREES

#  Escalopes de foie gras frais poêlés sur un lit de figues

    Dans une poêle très chaude, faire des aller-retour rapides de tranches de foie gras frais, de façon à les chauffer sensiblement, sans trop les faire " fondre ", puis les servir, dans des assiettes très chaudes, sur un lit de figues fraîches, coupées en tranches fines.

    Agrémenter de gros sel et d'un peu de poivre.

#  Tagliatelles au foie gras

    Préparer un plat de tagliatelles suivant la méthode classique et les réserver; Dans une petite casserole, faire chauffer à feu doux de la crème fraîche, agrémentée de ciboulette finement coupée, et d'un peu de sel et poivre et de quelques cubes de foie gras. On pourra également émincer une truffe, et l'incorporer dans la sauce que l'on réservera au chaud. Faire un mélange de morceaux de foie gras, de fines tranches de magret de canard fumé, assorti de morceaux de pruneaux.  Penser à chauffer les assiettes avant de servir, puis déposer les tagliatelles, et les recouvrir du mélange cité précedemment. Verser alors la sauce crémeuse au foie gras.

PLATS

#  Pavé de chevreuil sur fricassée de pieds-de-mouton

    Faire dans une première poêle dorer à feu vif quelques échalottes et ail, puis les recouvrir des champignons nettoyés et coupés en gros morceaux, retirer de temps en temps l'eau rejetée par les champignons, puis ajouter un peu de crème fraîche sur la fin de la cuisson ( environ 10 à 15 minutes à feu moyen ).

    Dans une seconde poêle, préparée avec un petit mélange d'huile d'olive et de beurre, faire revenir les pavés, recouverts légèrement à votre convenance ( herbes de provence, basilic ou ciboulette ), et les retourner régulièrement pour les faire un peu rissoler sur la tranche ( temps de cuisson dépendant de l'épaisseur du pavé, environ 15 minutes pour un pavé moyen ).

    Servir les deux poêles dans des assiettes chauffées à l'avance.

#  Ris de veau aux morilles et jus de porto

    Faire dégorger les ris de veau 1 heure dans un grand volume d'eau. Les égoutter, les mettre dans une casserole, couvrir d'eau froide et porter à ébullition, rapidement les sortir, les égoutter et les passer sous l'eau froide. Puis retirer la membrane les entourant, et les tailler en escalopes. Les saler et les poivrer.

    Dans une casserole, réduire le porto pour obtenir une consistance sirupeuse, ajouter un peu de jus de truffe et un fond de veau légèrement dilué. Mélanger et faire cuire une dizaine de minutes à feu doux. Faire cuire dans une sauteuse les morilles avec un peu de crème fraîche à feu moyen, saler et poivrer.

    Faire chauffer un peu de beurre dans une grande poêle, saisir les escalopes de ris de veau 2 ou 3 minutes de chaque côté, et les disposer dans un plat préchauffé avec les morilles.

    Hors feu, incorporer à la sauce au porto le reste de beurre en fouettant, verser en saucière et servir sur les ris de veaux aux morilles.

#  Poêlée de Saint-Jacques aux truffes

    Preparer une sauce, avec quelques échalottes, champignons de Paris hachés, les faire revenir et un peu dorer dans une grande casserole, ajouter 300 gr de moules lavées, 20 cl de vin blanc, et laisser cuire 10 minutes à couvert, jusqu'à ce que les moules soient ouvertes. Les décoquiller, les remettre dans la casserole avec 20 cl de crème liquide, et mixer le tout pour obtenir une sauce onctueuse, la réserver sur un feu très doux.

    Faire chauffer 40 gr de beurre dans une autre poêle, et saisir les coquilles St-Jacques environ 1 minute 30 par face sur feu vif. Saler et poivrer. Couper la truffe en lamelles, ciseler un peu de ciboulette. Mixer à nouveau la sauce pour la rendre mousseuse.

    Disposer rapidement les St-Jacques dans des assiettes préchauffées, repartir les lamelles de truffe, parsemer de ciboulette, et entourer de sauce.

    Pour accompagner, pourquoi ne pas servir une poêlée de champignons des bois, girolles ou cèpes, émincés et revenue dans un peu de beurre persillé ... ?

DESSERTS

#  Sacher Torte

gateau          glacage                 ingredients

140 g            100 g                    chocolat noir

140 g              20 g                    beurre

140 g               /                        sucre

120 g               /                        farine

    6                 /                        oeufs

                      10 g                    Cacao

                                                confiture d'abricot

1) faire fondre le chocolat / bien mélanger le beurre et le chocolat / ajouter les jaunes d'oeufs et le sucre / quand on obtient une masse épaisse et brillante, ajouter par petites portions, en alternant, les blancs d'oeufs battus en neige et la farine / verser la masse bien malaxée dans un plat graissé et saupoudré de farine / faire cuire 30 minutes à four moyen

2) laisser refroidir, puis démouler le gateau, et le couper à l'horizontal en 2 plateaux / étaler une couche de confiture d'abricot sur la première tranche de gateau, puis replacer la seconde par-dessus.

3) faire un glacage au chocolat / faire fondre dans une casserole le chocolat, le beurre et le cacao, y verser 2 cl d'eau froide, et bien remuer / recouvrir le gateau avec le glacage, le laisser durcir, puis le mettre au froid.

Nb: pour les gourmand(e)s, il est suggéré de multiplier les doses des ingrédients Glacage par un certain coefficient... en fonction du degré de gourmandise.

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Des lieux magiques

à St-Cloud ( 92 )

en l'église de Garches ( 92 )

monument Zen ( nul part )

sur le chemin de St-Jacques de Compostelle dans les Landes ( 40 )

Temple bouddhiste à ...Sèvres ( 92 )

la veille de Noêl à Marigny-Brizay

chapelle du Mont St-Michel

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mes parents à l'époque du Noir&Blanc, on dirait une affiche de cinéma ...


mon père récemment

ma mère récemment

mes parents cette année







ma fille Daphné


avec son ami Julien


mon fils Wilfried


avec son amie Emelie


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